Les médias du monde entier demandent que Clinton quitte la course à la Présidence US

Nick Merrill, chargé des relations publiques de la campagne électorale de Hillary, a corroboré que c'est bien au cours de ladite cérémonie que  Clinton s'est sentie indisposée. Il a été également rendu public que bien avant Lisa Berdak,  docteur personnel de Hillary, a déjà diagnostiqué une pneumonie chez la candidate. Le docteur a confié que Clinton souffrait des quintes de toux aigüe ce qui, finalement, a provoqué une dégradation générale de sa santé.

Selon la chaîne américaine Fox News, Donald Trump, rival de Clinton du Parti républicain, a pris la même initiative de s'enquérir de l'état de santé de l'ancienne secrétaire d'Etat. Le Washington Post presse Clinton à quitter tout bonnement la présidentielle. Selon les journalistes, si elle décroche le mandat, « elle aurait plus de 70 ans, à la mi-temps ».

A l'étape actuelle, Hillary s'est vue prescrire une pause santé. Des antibiotiques lui auraient été également administrés. Ses calamités ne se limitent pas qu'à ses poumons, car, à ce qu'il paraît, elle serait souvent sujette à des crises subites de déshydratation. Une fois elle a failli succomber à son malaise en s'écroulant littéralement dans les bras de ses gardiens avant même qu'elle n'ait eu le temps d'atteindre l'abri de sa voiture. L'état de Clinton ne cesse d'empirer. Ses propres électeurs se sont alarmés en la voyant s'absenter régulièrement et de façon prolongée dans les toilettes. Elle part souvent en longues saccades de rire hystérique. Parfois, constate la presse américaine, on a l'impression qu'elle ne comprend même pas ses interlocuteurs.

Il n'est pas à exclure que ce comportement aurait pour cause physiologique un accident de voiture survenu en 2012 qui a causé un traumatisme crânien. L'un des docteurs les plus médiatisés de l'Amérique Drew Pinsky a pris le soin d'étudier le diagnostic de Clinton. Selon lui, elle pourrait avoir fait une trombose cérébrale. Le docteur a avoué ne pas très bien comprendre le traitement que l'on aurait préscrit à la patiente étoilée. Une autre source médicale parle d'une épilepsie psychomotrice et des signes avant-coureurs d'une démence sénile. Cette version est exposée dans le dossier médical de Clinton qui trotte à travers l'internet américain.

Un autre signe alarmant : la présence constante à ses côtés de l'un de ses gardiens noirs qui lui fait des piqûres instanées en cas de besoin ou qui essaie de la sermonner quand elle se comporte de façon déplacée.

Les médias affirment que, même si les problèmes de santé de la candidate étaient bien connus depuis belle lurette, après l'histoire de l'évanouissement pour cause de chaleur, l'état physique de Clinton crève les yeux par son évidence.

Mis à part son état de santé,  Clinton mène, selon la presse américaine, l'une des campagnes électorales de loin les plus scandaleuses que l'Amérique du Nord n'ait jamais connues. Ainsi, parmi les bailleurs des fonds de Clinton on a retrouvé de tels sponsors comme Pinchuk, gendre de l'actuel président ukrainien, ou encore les représentants de l'Arabie Saoudite.