Le Président des Etats-Unis sera élu par des hackers

Autrement dit, il en accuse les Démocrates. Trump clame haut et fort que tout a été magouillé d'une telle façon que Hillary Clinton remporta la victoire sur le dos du sénateur Bernie Sanders  qui n'avait aucune chance.

David Kerans, analyste américain et docteur ès sciences historiques (spécialisation : histoire russe) a confié à Pravda.ru la vérité sur le mécanisme de falsification des élections américaines.

« La presse américaine et la strate politique sont de plus en plus intéressées par le sujet de falsification du système électoral des Etats-Unis. Il est curieux que les ragots à ce propos ont apparu après les primaires.

C'est au cours de la campagne électorale que nous avons constaté des résultats plutôt étranges et inexplicables dans de nombreux Etats qui votaient.

Le système électoral, le mécanisme du dépouillement du scrutin et l'inspection n'étaient pas uniformes à travers tous les Etats. Il est évident que les Etats ou l'on compte les bulletins de façon mécanique sont les plus exposés aux manipulations électroniques. A mon sens, ce serait l'explication du décalage existant entre les pronostics officiels et le vrai résultat du vote.

Cependant la vérité est autrement plus intéressante. A étudier de près la différence entre les résultats des pronostics et du vote, on découvre qu'un tel décalage est dans tous les cas statistiquement impossible.

D'autres techniques ont été mises en pratique pour arranger les données. Citons des exemples concrets : il était fort suspect que l'Etat de Névada a vu beaucoup de personnes non identifiées et sans droit de voter qui sont tout de même passés aux urnes et, comme de bien entendu, ont tous voté Clinton.

Dans plusieurs Etats, un autre scénario a été appliqué : les électeurs se sont vus littéralement ôter leur droit constitutionnel de voter. Les Américains se sont rendus aux urnes et ont découvert que, pour la loi, ils n'existaient pas ce qui les a empêché de s'exprimer. On aura vite fait de comprendre que les « non-enregistrés » étaient ceux qui voulaient donner leur voix au rival de Hillary, c'est-à-dire à Bernie Sanders.

Les experts ont également noté que les bases des données de certains Etats (en particulier, ceux d'Arizona et de New-York) ont été trafiquées et les candidats indésirables rayés de la liste.

Si cela avait eu lieu dans d'autres pays - en Slovénie, en Ukraine -les Etats-Unis auraient appelé à annuler ces résultats.